"Ambiance Lima 06-07", N° 3:

Et nous continuons le tour de découverte de mon ambiance musicale à Lima: les morceaux que j’ai beaucoup entendu... nous écoutons aujourd’hui "le prince de la salsa" Marc Anthony, plus connu chez nous pour être l’époux de Jennifer Lopez.

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Marc Anthony - Que precio tiene el cielo ?

=> chanson dédicacée à Camille O. -> sa plus grande fan à ce jour.

1536, la révolte inca

Un reportage digne d’intérêt sur Arte ce soir: résumé .

Irlande

Quelques photos de mes quelques jours passés en Irlande au début du mois pour visiter Thomas: c’était pas le gros dépaysement mais l’Irlande et les irlandaises sont plutôt jolies ;) . En tout cas, si vous avez peur de vieillir, allez y !! J’ai pris un coup de jeune (pas vraiment souhaité de fait) en apprenant, lors d’une location de voiture, qu’en Irlande, on est jeune conducteur jusqu’à 27 ans. Donc rajeunissement pour moi et amaigrissement pour mon portefeuille (une vraie cure de jouvence pour les deux!) étant donné que l’on raque plus quand on est jeune conducteur... sachant que j’ai commencé à conduire il y a 9 ans de cela, ça paraît étrange.





Affaires (religieuses)


Traduction: Jean Paul II, tout le monde t’aime et tu seras toujours dans nos cœurs

Au Pérou, l’influence de l’église catholique est encore très importante dans la société. De fait, la très grande majorité de la population est croyante. Les églises évangéliques sont en progression comme dans le reste de l’Amérique du Sud et notamment au Brésil où elles sont trés influentes.
L’image que je présente aujourd’hui est puisée dans mes archives et date de 2005. Il s’agit d’un tract qui était distribué aux caisses des supermarchés E.Wong (entre temps, le E a été enlevé et c’est devenu Wong). Elle rendait hommage à Jean-Paul II à sa mort. Acte désintéressé ou manœuvre marketing, je ne saurais trop dire mais on constate l’écart avec la France où on peine à imaginer recevoir ce genre de document à la caisse d’un Carrefour.

SUPPLEMENT: "Ambiance Lima 06-07", N° 2:

Parce qu’au Pérou on aime encore le bon vieux hardrock mais aussi les 80’s (une pierre, deux coups)...

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Quiet riot - Come on, feel the noise

C'est pas sorcier...

...Le Pérou est sur France 3 ce dimanche 14 octobre à 17h. L’épisode dure 52 minutes et sera consacré aux Incas... tant pis pour l’originalité ! On restera une fois de plus sur une image carte postale du Pérou mais les occasions d’entendre parler de ce pays à la télévision française sont tellement rares que ne boudons pas notre plaisir !

Aristochat ou chat de gouttière ?


souvenir de la foire aux vins 2007

Les lecteurs fidèles savent ce qu’évoque pour moi le Gato negro et ne seront donc pas surpris de retrouver encore un post consacré à ce grand ambassadeur (low cost) du vin chilien. L’ami de l’étudiant, du jeune stagiaire ou du chercheur d’emploi au Pérou, où on le consomme par brique (1 ou 2 litres), se donne des lettres de noblesse sur d’autres marchés. Je ne reconnais plus le compagnon de mes soirées liméniennes, sensibles maintenant aux flatteries des oenologues mais il me fait encore passer un bon moment à l’écriture de ces lignes. Auchan reste quand même moins témeraire que Cora qui l’érige en vin de garde: " attendez, je vais vous sortir un petit gato negro millésime 2004, vous m’en direz des nouvelles !", vous imaginez quand même... Tiens... je m’en vais mettre en cave quelques bouteilles de Villageoise si c’est ça!


SUPPLEMENT: "Ambiance Lima 06-07", N° 1:

Le Monde et Le Figaro donnent à leur lecteurs (moyennant un petit supplément) un dvd chaque fin de semaine permetant de se constituer des collections thématiques intéressantes. Avec mon pic de 4100 visites en août, je suis encore loin d’égaler ces 2 journaux mais je me suis dit que l’idée du supplément média était intéressante et je me lance dans le supplément musical; le but étant de vous faire partager des musiques qui ont constitué un fond musical réccurent lors de mon séjour au Pérou.

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La secta feat. Eddie Dee - La locura automatica

Forêt, Champignons et Soleil

Tel était le programme de ce dimanche. Nous allions dans les bois pour chercher quelques cépes de Bordeaux mais ils étaient absents au rendez-vous. Consolation agréable, nous trouvâmes ces Giroles et Pieds de mouton.



Pour ceux qui avaient aimé NAF, j’ai trouvé ce lien intéressant : http://www.lapsusweb.net/pages/p07/naf.htm

Du temps où les supermarchés avait des noms rigolos...

J’ai retrouvé ce sac dans la cave il y a quelques jours: un souvenir, une relique... Il y a plus de 10 ans, avant d’être racheté par la chaîne de supermarchés belges MATCH, le supermarché de mon quartier s’appelait GRO. C’est tout sauf poétique mais ça fait sourire et c’est ça qu’on aime. Le slogan est un condensé de simplicité qu’on comprend tout de suite !


En France...

...depuis le 5 septembre ! Aprés prés de 10 mois passés au Pérou: ma recherche d’emploi ne s’est pas averée fructueuse pour diverses raisons et je suis donc de nouveau sur le sol français tout comme mon camarade Nicolas à qui je souhaite tout le meilleur avec Rosa. Pour ceux qui liraient ces lignes et seraient tentés par l’éxpérience, choisissez un autre pays à moins d’avoir de trés bonnes raisons ou... d’avoir la double nationalité. Je garde quand même pas mal de bons souvenirs mais maintenant c’est retour à la case départ et j’aimerais pouvoir trouver un poste à l’étranger en cherchant depuis la France... croisez les doigts avec moi !

NAF

Je ressors aujourd’hui 3 cartes postales qu’on m’avait donné en 2005 et qui sont maintenant sur les murs de ma chambre. Elles montrent le travail d’un artiste péruvien (NAF) au travers 2 motifs récurrents qu’on voyait beaucoup dans la rue lors de mon premier séjour, notamment le "Un nuevo sol compra felicidad" (un sol (monnaie péruvienne) achète le bonheur). Cette année, ils avaient pour la plupart disparus, même si j’en ai vu dans la rue Bolognesi à Barranco avant de partir. Les miroirs se retrouvent encore dans quelques bars liméniens.




Fotolog de NAF: http://www.fotolog.com/nafer/

Tout va bien... pour moi.

Petit post pour rassurer, le séisme qui a touché le Pérou est effectivement trés grave mais il n’a pas beaucoup affecté Lima et je me portes bien. Si vous voulez en savoir plus, je vous invite á lire le témoignage de Nicolas sur son blog.
D’autre part, je penses être de retour prochainement en France avec des plans qui restent encore á déterminer.

Let's squash !!!

Evénement du jour: mon retour sur un terrain de squash aprés plus d’un an sans pratiquer (souvenirs clermontois) d’abord parce que au début il n’y avait pas eu l’occasion puis qu’ensuite s’était présenté le facteur "Vendanges 2006" avec mon steppage qui m’avait valu des restrictions sportives a moyen terme. J’avais déja retenté le jogging il y a 2 mois mais aujourd’hui je peux le dire: Benoît le sportif est de retour !!!  :-D

A la recherche du Gato negro !

12 juillet... la date approchait á grands pas: la date de mon passage dans l’illégalité. Il était donc grand temps de franchir la frontière pour renouveller mon visa et je commencais á me lasser de Jambeli en Equateur. J’ai donc décidé de descendre dans le Sud cette fois ci jusqu’au Chili afin de découvrir le désert d’Atacama. Ce désert qu’on dit le plus sec du monde allait donc être ma prochaine destination: quitte á voyager loin, autant en profiter un peu. D’autre part, je partais á la recherche de mon héros chilien: le chat le plus célèbre d’Amérique du Sud: le Gato negro (traduction litérale: "chat noir"), personnage emblèmatique d’un vin chilien en brique qui a fait mon bonheur plus d’une fois.
C’est donc ainsi que j’arrivais á San Pedro de Atacama le 8 juillet aprés un voyage presque sans encombres: avion de Lima á Tacna, taxi depuis l’aéroport jusqu’au terminal terrestre, collectivo pour passer la frontière jusque Arica coté chilien et enfin bus de nuit pour San Pedro de Atacama (reveil 2 fois de suite par les douanes chiliennes en cours de route). Je n’étais quand même pas bien frais en arrivant car j’etais sorti en boîte la veille de mon départ et que je ne dors pas trés bien hors de mon lit, ce qui m’aura quand même permis de profiter d’un chef d’oeuvre du 7e art d’un acteur cher aux télés des bus d’Amérique du Sud: j’ai nommé: Jean-claude Van damme. Arrivé dans le village, je m’empresse avec Liberty (compagne d’expédition de cette épopée chilienne) de trouver un hôtel pour y passer nos prochaines nuits, ce sera chose faite avec Le Florida qui porte le nom d’une lointaine destination et qui nous le verrons plus tard donne effectivement l’envie de migrer vers d’autres contrées. Pour l’heure nous faisons un tour de notre lieu de villégiature tout en cherchant á satisfaire un appétit croissant: le village est vraiment plein de charme et si l’on sent le centre touristique important, il a quand même su garder son âme bien que malheureusement ce soit l’un des lieux les plus cher du Chili. Dans l’aprés-midi nous partons pour notre premier tour: destination la vallée de l’arcoiris (ou arc-en-ciel): premier vrai contact avec le désert avec notamment des roches de toutes les couleurs (vert, bleu, rouge, blanc) => tour sympathique mais non inoubliable. Le soir, lors du dîner face á la déroute du Pérou en coupe America, nous faisons connaissance avec 3 francais en voyage en Amérique du Sud aprés un an d’étude á Tahiti.
Lundi 9 juillet: aprés une nuit de sommeil réparateur (ndlr: j’ai du mal á dormir en bus) nous partons pour notre second tour: "la vallée des cactus et les thermes de Puritama". Erick le guide est vraiment agréable et va plus loin que le simple discours "á votre droite..., sur votre gauche...". Nous apprendrons au cours de la matinée que les cactus croissent á un rythme de 1 cm par an, que par conséquent le plus haut (12m) a 1200 ans, que le bois de cactus a servi pour faire le toit de l’église de San pedro et enfin que notre guide est nudiste... En effet en arrivant á Puritama (nous éviterons la zone du haut payante et bondée) nous eumes droit á un chilien sans maillot dans la piscine (poche naturelle) d’eau chaude. Je rassures, nous avions été prévenu ! Bain trés agréable avec un fort contraste de température entre l’eau et l’air: le plus dur étant de sortir de l’eau et de se sécher en express. L’aprés-midi, nous devons faire le tour incontournable de San Pedro: la valle de la Luna; ne pas faire la vallée de la Luna en étant ici, nous dit-on, c’est un peu comme aller á Paris sans voir la tour Eiffel. Erick nous propose de sortir des sentiers battus et c’est ainsi qu’aprés avoir vu la pierre du coyote (image 5), avoir jeté un rapide coup d’oeil sur la vallé de la mort (attention au vent !) nous nous retrouvons á faire de l’escalade dans une grotte aux cotés d’une ancienne mine. La journée se termine á la vallée de la Luna oú nous admirons une dune spectaculaire avant de rejoindre d’autres dizaines de touristes pour voir le coucher du soleil sur le désert. En ce qui me concerne, c’etait loin d’être la chose la plus intéressante de la journée. Nous faisons le tour du village á la recherche de nos amis "tahitiens", ne les trouvant pas nous nous posons sur la place du village á 2 pas du commissariat en entamant une bouteille de Cristal (une bière qui a une homonyme au Pérou mais plus de goût dans sa version chilienne). Coïncidence... les 3 francais arrivent et se posent avec nous, malheureusement nous ne restons pas longtemps á notre poste: la police chilienne ne plaisante pas et nous le fait savoir. On ne boit pas dans la rue au Chili, ce qui nous vaut une invitation dans les locaux des caribineros... un pas difficil dont nous sortira Liberty en nous interprétant son rôle de "la touriste innocente". Nous poursuivons la soirée dans l’hôtel avant d’être invité á changer de lieu, nous terminerons donc la soirée dans le camping des francais. Le pisco chilien fait son office aussi bien que le péruvien et au risque d’être maudit para mes lecteurs du Pérou, je lui ai trouvé plus de goût (ndlr: la comparaison concerne les piscos bon marchés). Je précise, pour rester objectif, que le Chili est le premier marché d’exportation du pisco péruvien.
Mardi 10 juillet: La matinée est consacrée au repos. L’aprés-midi nous retrouvons les 3 francais qui ont eu une fin de soirée difficile et partons pour la vallée de la mort (valle de la muerte) pour une session de Sandboard (comme le snowboard mais sur le sable). Aprés 7km de marche, nous tentons l’éxperience: c’est bien casse-gueule mais vraiment marrant; le seul vrai problème est qu’aprés avoir descendu la dune en 30 secondes, il faut la remonter et lá c’est pas la même histoire !
Mercredi 11 juillet: Aprés une soirée dans le bar de l’hôtel et une courte nuit, nous nous levons á 3 heures pour l’un des temps fort de notre passage ici: la visite des geysers de Tatio. La visite se fait tôt car les conditions sont les meilleures pour voir les geysers dans la matinée. Aprés 1h30 de bus, nous arrivons sur le site; il fait un froid phénomenal á tel point que la buée sur les vitres a gelé. La sortie dehors est difficile mais le spectacle est saisissant: même si je m’attendais á des colonnes d’eau plus haute, le paysage lunaire autour de moi me surprend. Ici on apercoit de l’eau bouillonante et des montagnes de vapeur, lá une colonne d’eau brûlante á coté d’une flaque de glace; au milieu de tout ca trottent des vigognes de passage. Le soleil se levant, il devient plus agréable d’être dehors; de plus c’est l’heure du petit déj: bonne surprise le guide utilise les cuves d’eau chaude pour préparer les oeufs durs et réchauffer le lait. Et même si ca meule ("il fait froid" pour les gens du nord-est), ce petit déj est le plus insolite et divertissant que j’ai jamais pris. Nous poursuivons notre chemin vers une piscine d’eau chaude ou comme d’autres rares témeraires je me baignerais: je ne voulais pas rater cette immersion á plus de 4000 mètres d’altitude. Aprés une sortie difficile de l’eau due au forts contrastes de température entre l’eau et l’air, nous nous dirigeons vers un petit village dont j’ai oublié le nom. Je goûte pour la première fois la viande de Lama et vraiment "ca déchire !". Autre grand moment: ma rencontre avec le chat noir, il m’aura quand même fallu être tenace ! Nous passons l’aprés-midi avec Edouard et Laura (merci au passage pour avoir pensé á ma fête) aprés avoir essuyé une sévère désilusion dans notre hôtel où l’aimable hospitalité de nos hôtes s’était terminé á 10h30 (heure de rendre la chambre). Le soir nous prenons notre bus de nuit et entamons notre retour á Lima.
Jeudi 12 / vendredi 13 juillet: Retour quelque peu perturbé par les grèves péruviennes qui nous valurent de déblayer la route entre la frontière chilienne et Tacna afin de permettre le passage de notre taxi (payé á vil prix comme toujours lors de ces moments lá). Je trouve ma consolation avec l’achat d’alcool á prix bradés dans la zone franche de Tacna (je recommande).

Bonjour á toutes les personnes rencontrées lors de ce voyage (sans ordre de préference): Erick, Ben, Jonas, Alexis, Simon, Christian, Sarah et David, Laura, Edouard, Chloé, Juliette, Sandrine...

Puritama Le volcan Licancabur depuis la vallée de la lune Benito - valle de la luna
Attention ca ne plaisante pas ! - A la policia chilena se la respeta ! Dunes dans la vallée de la mort (valle de la muerte) Je l'ai trouvé !!

Chili, me voilá !

Je pars demain pour le Chili afin de renouveler mon visa, je profiterais du voyage pour visiter le désert d’Atacama.
Pour en savoir plus (en anglais): http://www.sanpedroatacama.com/ingles/visitar.htm .

SKA !


Mon concert d’hier

Ambiance internationale - rencontré un polonais, un allemand, une norvégienne ... surprenant - bière pas cher et concert comme á la maison

La Punta, LIMA (Pe)


Á Lima depuis déja pas mal de temps, je n’avais pas encore mis les pieds á La Punta. Ce fut chose faite en compagnie de Luz vendredi dernier: Luz est une amie péruvienne que j’ai rencontré il y a peu et qui part (doit on dire malheureusement ?) dans une semaine étudier une année á Londres. Je vous conseille la visite de son blog de voyages, plus qu’intéressante. Mais revenons á La Punta: ce petit district (0,75km2) qui jouxte Le Callao était autrefois le lieu d’habitation de la haute socièté. Depuis le district s’est popularisé mais il sert encore de port á bon nombre de voiliers et de hors-bord et abrite quelques clubs de voile. J’ai vraiment apprecié l’ambiance qui y regnait: on y trouve de vieilles maisons un peu comme dans le centre de Lima mais sans la saleté, le calme qui y règne est vraiment surprenant et le coté "bord de mer" trés agréable. On est á Lima mais j’y ai senti une impression de dépaysement qui m’a fait regretter de ne pas avoir tenté l’expedition plus tôt. Nous avons commencé par aller á la pointe de La Punta avant de nous retrouver autour d’un ceviche (restaurant Nancy). Je signale au passage que le port du Callao étant tout proche, le poisson est de grande fraîcheur dans cette partie de Lima et ce repas m’a permis d’oublier le Chicharon qui m’avait rendu malade quelques jours plus tôt chez Punto Azul á Miraflores. Aprés avoir arpenté le quartier et le bord de mer (petite sieste au passage sur la plage de gallets), nous avons fait un petit tour de barque plus amusant qu’instructif avant de remonter dans notre combi du retour.

Benito en Vento Peru


Sargento Pimienta (02.06.07): Sebastian, Anja, Miguel, Rike, Benito, Hayssen, Julia, Desiré

Petit post sans autre intérêt que celui de mon auto-glorification au travers d’une photo, prise par Vento Peru (le nightfever local pour les auvergnats), d’une de mes soirées avec les gens de la Casa roja . J’aimerais bien en tout cas que cela soit le cas mais je ne suis pas trés mis en valeur par cette photo qui corrobore l’affirmation de certaines personnes qui disent que je fais beaucoup plus jeune que mon âge. Donc, ne cherchez pas longtemps, le jeune adolescent prépubère derrière avec le polo vert, c’est moi !

Des choses qui ne changent pas

Hier, j’étais à un concert de punk & dérivés, chose qui n’était pas arrivé depuis mon départ de France, par conséquent depuis quelques mois. J’avais déja eu l’occasion d’assister à des concerts d’autres genres musicaux mais mon dernier concert punk à Lima devait remonter à 2005. Et si le genre est plus populaire ici que dans l’hexagone, que le public n’est pas à 95% masculin et que l’on ne se fait pas prier pour aller pogoter; il y a toutefois des constantes propres au punk qui ne changent pas d’un pays à l’autre. Le fait de se rassembler à l’extérieur du bar ou salle de concert pour prendre sa bière ou autre alcool afin d’éviter de payer sa chope à "vil prix" (notez les guillemets) en est une. La règle qui veut qu’un concert de punk ne commence jamais à l’heure en est une autre, mais je dois avouer que cumulé à la fameuse "heure péruvienne", il faut se préparer à attendre un bon moment: tel était le cas hier ou le concert prévu à 21h commença après 23h. Mais l’attente valait la peine et le concert fut vraiment très bon: le nom très poétique de la tête d’affiche Vaselina me laissait présager le pire mais son Rock’n roll était de qualité, et entres pichets et déhanchements de mon corps, j’étais à la fête !


http://www.myspace.com/vaselinaperu
http://www.myspace.com/losturbopotamos
http://www.myspace.com/manganzoides
http://www.myspace.com/aeropajitas

Ce n'est qu'un "au revoir"...


Despedida en el Irish Pub: lunés 26 - (Haysen, Tania, Benito)

Tania, la plus française des allemandes est rentré chez elle hier, tu nous manques déja !!!

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